J’ai passé une soirée pourrie à cause de vous, de votre nullité et de votre misère mentale. Je me suis penché vers vous, et j’y ai vu un abîme de stérilité, de courses borgnes, de jeux perdants. Si j’avais plus d’argent je m’amuserais tout le temps, en permanence, et vous me jalouseriez encore mille fois plus. Je crois comprendre… Venons en au fait : vous êtes vides, et n’avez aucune vie intérieure. Et je n’ai plus même à me demander comment font certaines pour se représenter publiquement : elles sont toutes aussi vides. La société du rien a créé l’entertainment pour cette raison : elle est inapte au jeu, vide, néante, plus vide encore que l’enfance que vous avez eue, et que vos enfants auront. Vous n’êtes rien, et je perds mon temps à vous parler. Donnez moi juste du bif, et je vous amuserais à Paris, car on s’ennuie à mourir là bas sans moi, et la vie nocturne, comme à Londres, est minable. Il n’y a que à Washington et à Moscou que l’on s’amuse un peu.

Affectueusement votre Florian qui se nourrit de votre vide (l’anti-vampire j’entends).

Bonne nuit.

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