Pascale Cougar, la complice du projet satanique, était venue me voir en 2002 dans mon appartement (elle était à l’époque professeur de Lettres au lycée Paul Cézanne) et m’avait parlé des œuvres au programme écrites par les rescapés de la Shoah. Elles m’en avait longuement parlé sans que je sache pourquoi et m’avait dit que ces rescapés éprouvaient tous un sentiment de culpabilité très élevé.
Le projet satanique a sans doute débuté dès les années 90 quand j’étais un adolescent très mignon au lycée Vauvenargues, notamment durant l’année scolaire 97 / 98. Dès l’année suivante, je notais un comportement pervers en latence dans le foyer familial, que je décidai ensuite, après que mon innocence ait été sujette à des questions incessantes, de quitter.