Un jour l’humain s’émancipera du sordide.

Ses lèvres impassibles tramaient un canevas
Dont les roses fleurissaient ailleurs
Un monde muet où de grandes fleurs
Se perdaient dans un silence vainqueur

Il n’y avait de désert qu’une instance profonde
Où nous étions de concert avec chaque seconde
Nous nous réalisions dans un semblant d irreel*
Pourtant que nous fumes ensemble sur terre

Nous menions une vie bien ordinaire, simple
Comme des animaux accourent dans les lisières
Et meditent lentement dans le temps en suspens
Oh nous étions dans la réalité première.

  • Ou bien vous préférez « dans un sentiment irréel » ?
  • Le fumes du vers suivant est intéressant oui. Voyez y un lien avec une certaine stupéfaction de la réalité.
  • Arrête de commenter tes vers comme Lamartine.
  • Tu n’as plus de café pour demain.
  • Arrête de les faire rire ils vont croire que tout va bien.
  • O lac suspend ton vol.
  • Mais d’ailleurs c’est pas Rimbaud qui commentait les vers de Lamartine ?
  • Ah j’avais pas compris.

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