Plus l’abîme s’ouvre à lui, plus le peuple lui ouvre les bras. Sa tendance suicidaire s exalte dans un érotisme du péril et le crime répond de son désir. Il veut en finir avec les anciennes valeurs, ne sachant rien pour autant des nouvelles qu’il dispose. Le peuple chancelle, s’extasie du cataclysme à venir. Il ne recônnait plus les siens, ni ses ancêtres. Le délire le stimule à accomplir le mal. Il ne reconnaît pas même la douleur qu’il suscite et la laideur où il s’engouffre. Il n’a plus la force de se remmettre de ce qu’il accomplit, sauf à le banaliser, et ainsi prend des forces pour mener son projet à bien.

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