À cela il faut ajouter un ennemi chimérique et de bons résultats préalables. Mais le fascisme est d’une grande malice, car il se cache si bien qu’il n’apparaît jamais là où on le pensait. Il apparaît dans la satisfaction des gens, qui ne savent plus de quoi répondent leur désir. Leur égarement devient une balise, leur avenir un programme écrit de toute pièce, gonflé de mythologies diverses.