Tes yeux sont une grande opale
Le sang persiste à vivre
Le sang injecté est quelques colères enfouies
Dans la tombe vivante de la périphérie
Des lumières meurent d’exister
Le ciel se couvre de sang
Une faible lumière éclaire encore mon visage
Car je n ai pas pu réellement voir
Ce sang qui bouge dans la nuit