Car si belle es tu, rose de toujours
Qu’il m’en vient un savoir superflu
Je touche l’épine dorsale d’un rêve
Dans l’ambre du tien qui se lève
Réunis dans une savante inclusion
Les rêves touchent le contour
Et le grand angle de tes lèvres.
Car si belle es tu, rose de toujours
Qu’il m’en vient un savoir superflu
Je touche l’épine dorsale d’un rêve
Dans l’ambre du tien qui se lève
Réunis dans une savante inclusion
Les rêves touchent le contour
Et le grand angle de tes lèvres.