On est tellement loin d’un monde sans passions tristes, un monde où le désir pour le désir dominerait, où l’esprit ne soit pas séparé du corps. Ce paganisme existe pourtant, mais la culpabilité des gens est tellement forte… On assiste vraiment à tout l’inverse : le monde de la consécration de la faute, du désir limité et de la division du corps et de l’esprit. Les correspondances sont tues. Seuls règnent le capital, la réduction, l’absence d’unité. Florian doit se sentir bien seul parmi ces étrangers.

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