Oh.

Ma très chère, tu lances des obstacles
Sur les bords accidentés de ma chambre
Tu dévales les espiègles pentes

Des pierres amenuisent le sol
Les veines du ciel sont les toiles
Où vivent des bracelets indolores

La flèche de ton coeur s’étiole sur les mœurs
Des saillies et des fleuves
Où nous sommes longuement
*

  • Remarque (il y en aura maintenant une après chaque poème) : J’estime que maintenant je vous ai suffisamment éduqués pour que vous ne soyez plus des violeurs.es ou des Talibans.

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