Je vais si bien monde parfait, monde serviable
Mais il y a un phénomène en ce monde qui te contredit
Ce n’est pas même un phénomène
Ce sont les virus et les parasites
Pourquoi, sous tes dehors si doux
Dans le grand centre de ton ardeur
Dans la beauté de tous tes contours
Y a-t-il cela qui peut exister
Cela fait si peur monde, on n’y penserait pas
On ne penserait pas qu’un tel mal puisse être pensable
Jamais en vérité, que l’humain qui t’habite
Ait pu construire sa négation