mouvement lacéré, incessant mouvement où les épis, les herbes fouettées ne sont qu’une représentation de ses nerfs affectés. le vent comme symbolique de l’inquiétude.
les ciels nocturnes et leurs cyprès balayés ciblent plus encore les déplacements, laissent apparaître – enfin avec la nuit – les centres nerveux en spirales qui sont les matrices.
espace tourmenté, espace du mouvement fuyard, fuite triomphale où la maîtrise est ce vent qui cesse d’éroder la matière pensante.