Le « meurs et renais » maçonnique est assez faible spirituellement. Il s’agit d’un rite initiatique de changement lorsque chez moi il est une évolution permanente, une véritable croissance. Il n’y a pas de savoir figé ou gradé mais un potentiel beaucoup plus vaste prenant en compte l’enfance de l’homme, le grand absent de leur ordre et le plus grand vecteur de maturité.