DOUBLURE
j’ai ces zones de mort taillées au cerveau ces espaces creux où sent la mort. elle est là dans le souterrain le métro à une heure du matin dans l’arrachement nerveux après que les autres fassent fête. elle pue, insensible, aigrelette. c’est une extraction – ces zones de mort que je sens.
je me demande comment est-ce possible toutes ces choses ces véridiques choses comment elles déroulent ce ruban animé ce tissu d’espace. ces ligaments parfumés. est-ce bien possible. ce n’est pas une faiblesse c’est une question légitime. je sais qu’il y a une raison outrageante à ces zones de mort à ce même tissu d’espace.