(il n’y a absolument rien de cynique dans ce poème les éventuelles jalouses)

Regardez les belles slavoniennes
Qui dansent et dansent la ronde
Comme de douces brebis

Elles prennent ceux qu’elles aiment par le bras
Et chantent le bonheur des prairies
Elles touchent les herbes hautes
Quand plissent les rayons solaires
Sur l echancrure des rêves

Le soufre fleure dans l’air
Et les idées se taisent
Quand fusent les fleurs premières
Des grandes allées princières

Oh la France est maintenant slavonienne !

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