Poème à une maigrelette.

Ce corps famélique qu’est le tien
ah ma pauvre jeune fille !
tu as la peau sur les os.

souffres-tu d’une maladie certaine
ou bien d’un mal paisible
qui lentement te draine

tu as la finesse d’un osselet
qui laisse entrevoir tes hanches
dans un paradis d’écume blanche

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