Oh que j’aime le galbe* de tes fesses
les étrons de ton âme sont des palmes
ou penchent des orées manifestes

dans le tumulte où hululent les chouettes
des oiseaux de vengeance touchent nos silences
les fenêtres sont pleines de nos stèles

par l’aimant de nos désirs les encres croisées
de nos amours touchent des résines
ou nos lèvres brûlent et s effritent

  • Oui le galbe, rien à voir avec l’autre mesdames.

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*