Le délire est un cercle sans fin. Seulement tout est à peu près circulaire. Le délire serait ce qui vient se greffer sur cette ligne perpétuelle et briser son cours.
Cela se sent avec évidence, je dirais qu’il n’y a qu’à sentir afin d’en être certain, seulement cette matière est pernicieuse. Rien ne lui échappe qu’elle ne s’y pose à nouveau. Attendre avec ardeur que cette fièvre passe.
Je sais très pertinemment ô combien cette fièvre est mensongère et comment la dissiper. Je sais encore davantage que la vérité se passe du moindre mot et qu’elle seule est véridique – comprenez que cette tautologie est fort à propos.