La demeure

LA DEMEURE

je sens trop d’amour ce poids qui m’écrase
me réduit à ce point que je suis plongé
dans une matrice et toi tu me tiens, toi
me protèges dans ta permanence infinie.

ta permanence ou ton être intégral
toutes tes chairs, tes nerfs et ton ventre
ton intelligence, ta pensée une et triomphale
comment tu me noues dans une telle plénitude.

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