Cezanne a toujours été jaloux de moi. J’ai pris son visage en photo au terrain des peintres où il apparaissait clairement. Ce peintre aurait aimé être moi, il a décidé de se venger. Jamais il n’a perçu comme moi l’environnement aixois. Il aurait aimé, mais les peintres sont condamnés de toute façon. Ils doivent immobiliser une image, ils ne sont pas fluides. Cezanne m’a toujours jalousé. Il n’a pas su se libérer d Aix-la-Maudite que nous connaissons tous les deux, et ses échappées ne sont jamais allées aussi loin que les miennes.