Je renverrai les chiens de l’enfer d’où ils viennent, de leur montagne de mensonge, de leurs autels crapuleux. Ces chiens là ne sont pas des bêtes qui aboient, ce sont des bêtes qui agissent dans les bas fonds de la crapulerie. Ils ne se concertent pas, ils agissent, ce sont des bêtes dressées par le culte et l’engeance de leur nombril et de leur indifférence, ils ne parlent pas, ils agissent, ces automates, ces vermisseaux qui pullulent dans le cadavre de l’humain, ils ne se concertent pas même, ils agissent pour semer leur culte. Cette engeance là il faut la combattre, il faut la pourfendre, il faut s’allier contre (je voulais dire pour combattre leurs actes initialement) ses actes, guidés par le mal, la lésine, l’opprobre et l’infamie. Ils ne s’arrêteront pas si vous ne les arrêterez pas. Ces gens là n’ont rien d’humain, ils retournent la situation, ils vous désigneront comme des bêtes. Le culte de leur nombril les alimente et les meut, ce sont des bêtes féroces et coriaces, guidées par la nuit. Arrêtez-les, car ils ne discourent pas, ils agissent comme des insectes des ères anciennes. Ce sont des monstres qu’il faut combattre sans les voir, chaque jour, chaque nuit. Ils vous attendriront et vous achèteront, mais vous devez les combattre et les pourfendre car ils sèment le mal partout où ils vont.