Quand une personne du commun rencontre un manipulateur, elle se met immédiatement à travailler pour lui. Non pas qu’il l’attire ou qu’elle l aime, mais qu’il a réveillé en elle ses instincts d’esclave. Elle a tant peur de lui que sa culpabilité, ses erreurs du passé ressortent sous forme de soumission. Elle prend plaisir à se dépersonnaliser, à travailler pour lui. Le bien qu’elle peut ressentir vient uniquement d’elle, tandis que le mal qu’elle produit, parfois démesuré, elle n’en a pas idée. Elle pourrait travailler pour un trafic d’organes d’enfants que cela ne la derangerait pas.

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