Les plaisirs.

Il y a plusieurs moyens d’être dans la cessation de pensée, tout comme il y a plusieurs sortes de plaisirs extrêmes (dit orgastiques). Les orgasmes cérébraux que j’ai eus à la lecture entre 2011 et 2016 avaient l’intensité d’un orgasme sexuel qui durait, tenez-vous bien, plus de quarante minutes. Je vous en ferai peut-être le récit détaillé un jour, cela étant du à un dysfonctionnement cérébral probablement. Parmi les plaisirs de la cessation de pensée il y en a un qui secrète une molécule très particulière que je nomme celle de l’étrangete (orgamse onirique diront certains). Et tout cela sans parler des drogues. Toutes vos tentatives pour reproduire cela échouront. Vous n’avez aucune chance. Ne serait-ce que parce que cela est peut-être le pendant positif et naturel de souffrances et malheurs extrêmes que j’ai pu vivre aussi et que je vous déconseille de reproduire. Il est totalement impossible d’isoler le + en le séparant du -. Cela n’arrivera jamais.

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*