Dans le film Megalomaniac, on voit un monde réduit à la bestialité, un monde de singes hurleurs. Il ne manquerait plus que la sincérité d’Yves Montand. Ce monde squelettique, décharné, est le miroir de la pulsion. La misère, l’insalubrité de l’âme des humains. Un monde-carcasse où gravitent les pulsions, le crime et sa norme. Ce monde à l’agonie est aussi le miroir d’un hôtel cinq étoiles et d’un Palace. Le monde de Martha la violée.