Le mal a ceci de particulier pour advenir qu’il étouffe et subtilise la parole du beau et du vrai pour en faire une outre puante, parfois déguisée en vase ancien ou en devanture moderne. Mais le rayonnement du vrai est inaltérable, il sait ce qui est juste et son temps est consacré à l’innocence et à l’émerveillement.