Les délirantes ont utilisé ma poétique, qui est le corps de Florian, pour commettre le pire des outrages. Les conséquences seront désastreuses. Le délire est le faux, la poésie n’est pas vraiment du délire mais une œuvre spirituelle. La pire des bassesses a été atteinte par des délirantes ignares et ingrates, incapables de recevoir la vie, mais agissant dans la pire des perversions, détruisant l’âme du monde, le cœur du sensible, pour la pire des disgrâces. Ces imbéciles ont offensé ce qu’elles prétendaient vouloir recueillir. Elles ont détruit le divin.

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