Un ou une novice dans le domaine de la pensée peut se faire aisément manipuler par un infatué à la pensée grossière. C’est que ce dernier a accumulé tellement de ressentiment sur la croute de son esprit qu’elle a pris une envergure qui semble épaisse. Mais cette croute est tout l’inverse du savoir, elle est ce qui s’est desséché au point d’être une pensée morte (ce n’est pas ici la comparaison la plus mauvaise). Il semble que tout l’inverse de ce qui doit être appris soit appris, car un savoir qui n’a pas évolué devient plus dangereux encore que l’ignorance, il devient un outil de colère, une culture de masse, une pensée qui ne véhicule rien.