La clarté consiste à appréhender des fondements invisibles, et celui qui connaît le beau et le sensible sait les voir directement. Ses yeux de grâce, habitués à la perfidie, savent comprendre les tours et détours de la nature. Mais le beau est plus fort en lui, ainsi que le bien moral. Sa nature tendre et exquise inspirent la souillure et le crachat et son âme forte et mobile, se déplace sur le monde et les gens. Sa clarté est également une connaissance du trouble, sain, physique et spirituel. Il ne participe pas du jeu caché et torve des gens, et se montre parfois cynique, au bon sens du terme, pour botter en touche les perfides, les faussaires, les moutons de panurge et parfois même des saintes n’y touche. Mais il reste sensible et sincère, et les troubles qu’il connaît parfois sont aussi purs que la clarté, car c’est elle, tant il est pur qui peut le tourmenter.