L’amour cucul convient à merveille à un monde carnassier et antisocial. Il est le petit bonbon du libéralisme, le susucre du capital, le Fernandel de la Provence. Petit toutou, petit chiwawa de Saint Cloud, il déambule dans les rues le fusil au cœur pour acheter le journal L’équipe. Il est l’Auto-moto de l’aventure, le Plus belle la vie du futur. Il peut s’avérer d’une obsequiosite déconcertante et fleurer horriblement le pathos. Trop lourd ou trop léger, il est le point mort de l’avenir et le France 3 régional de l’aventure.