Toutes sortes d énergumènes de différents journaux ou de publicitaires pourraient se servir de cette pyramide de grotesque et de mensonge pour servir leurs intérêts. On pourrait s’imaginer un homme ému aux larmes sur son estrade, en train de scier la tête d’un enfant sous sa tribune, à l’abri des regards. Ou bien un mea culpa tellement incomprehensible et ennuyeux qu’on y prêterait attention.