La petite psychologie fait des pâtés de sable. Elle a tout perdu et nous illumine de son ignorance. Dans des temps perdus, où des idiots passent pour des prophètes, la petite psychologie fait son nid dans le paraître. Elle est impuissante et mauvaise. Elle bénit de petits liens qu’elle fait et s’extasie d’un rien. Elle est pleine dans le vide et le néant et avance lentement dans les roues espiègles de son ignorance. Elle ne sait rien et comate dans son soleil plastique qui lui dicte des stances désertes et vides. Elle ne sait rien et avance dans ses petites écailles et ses sévices. Elle désire ce pouvoir, ces échantillons de pensées, phrases décharnées qui se soumettent à tous les vents. Mais le monde contemporain n’est pas une nature. Elle s’affiche sur des terrains cabossés, sur des dessous lugubres sans savoir qu’elle ne pense pas. Elle est un immeuble réhabilité où des entreprises ont fait faillites. Elle est la façade nulle du monde.