J’ai toujours éprouvé du rejet envers l’homme excrémentiel, depuis ma tendre enfance j’ai perçu ce qu’il y a de louche et de bancal, ce qui a grossi dans le temps jusqu’à me faire voir rapidement toute son horreur (preuve en est du coup qu’il a fait à son fils quand l’occasion s’est présentée). J’ai toujours perçu le maniérisme grotesque de cet homme excrémentiel. Je le fuyais sans cesse, rêvais à outrance (méfiez vous des enfants sages lol spéciale dédicace… bon ses romans sont moyens hein) et me réfugiais dans les bras de ma mère, vers qui je me tournais tout le temps spontanément. C’est mon frère, parfaitement insensible, qui le vénérait comme un Dieu tout en le haïssant à en mourir et en jalousant la liberté que j’ai toujours eu de ne pas être son robot. Mon frère est le parfait produit de mon père, c’est à dire un matérialiste qui a horreur de la philosophie, des arts et des lettres, comme ses trois enfants, castrés par le grand père qui a peu lu (il vous raconte n’importe quoi mes trois neveux). Mon frère, qui est intelligent comme moi et la plupart des enfants soumis à un ou des parents débiles l’a fui également par le sport et les sciences qui sont du chinois pour mon géniteur. Quant à Aurélia, on peut penser qu’il a été préférable pour elle de ne pas vivre et qu’elle a choisi de mourir.
Vous devriez arrêter les frais. Vous avez suffisamment vu le géniteur de celui que vous aimez (c’est comme cela que ça a commencé hein, par contre désolé pour vos gosses, demandez moi la prochaine fois).