Il y a quelque chose de beau et de rassurant dans le déshonneur, c’est qu’on ne s’est pas trompé de cible. On continue de croire en celui qu’on déshonore, et lui peut rire autant qu’on rit de lui, mais sans rire. Celui qui déshonore a un moyen d’action limité. Tôt ou tard il devra dormir et reprendre le cours de sa vie, et celui qui est déshonoré aussi.