Ces pays construisent ce que j’endure
Et bâtissent les structures nulles
Dans le terrain vierge de maigres récits
Qui narrent nos essences perdues
Dans le lit que nous traversons
Dans le produit de nos plaisirs
Nous pâtissons de ces seuls désirs
Qui fusionnent dans leur essence
Comme les poutrelles des constructions
Comme les arêtes des villes
Comme les saignées des champs
Comme nos mouvements habiles.