Je vous adresse mon mépris.

Je vous tourne le dos, par orgueil, et je vous méprise. Quant à mes poèmes, vous n’êtes pas dignes d’en lire encore un seul instant. Je n’ai pas envie que vos yeux polluent mon esprit.

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*