Je vous tourne le dos, par orgueil, et je vous méprise. Quant à mes poèmes, vous n’êtes pas dignes d’en lire encore un seul instant. Je n’ai pas envie que vos yeux polluent mon esprit.
Je vous tourne le dos, par orgueil, et je vous méprise. Quant à mes poèmes, vous n’êtes pas dignes d’en lire encore un seul instant. Je n’ai pas envie que vos yeux polluent mon esprit.