La cruauté.

La cruauté est un mal des plus pernicieux. Elle n’a pas de sentiment. La personne la plus cruelle n’en a pas, mais d’autres qui jouent le jeu de la cruauté peuvent en avoir. Elles peuvent même aimer. Cette étrangeté de la cruauté chez certaines personnes est qu’elle est couverte en partie de bienveillance. Ches d’autres elle à l’abri de la malveillance. Dans tous les cas la cruauté est distante, mais elle peut graviter autour d’un pôle de cruauté initial. Elle est le miroir de la vie, qui est cruelle pour tous. Et chacun a son mot à dire sur la cruauté et une qualité cruelle a exercer. Le plus faible qui soit pourra être cruel. Dans un cas extrême un grand cruel pourra faire des discours d’humanisme, il s’agira alors de perversion. Mais la petite cruauté est différente, elle peut aimer légèrement. La cruauté toujours est indolore, car la vie elle-même est cruelle, car tous y ont été sujets. Une victime de très grande cruauté, affaiblie et rendue malade par la cruauté pourra en parler si on l’écoute, sans faux discours évidement et sans la perversion du grand cruel. Elle en parlera d’une voix balbutiante et hésitante. On voudra l’aider, mais le pourra t-on ? Pourra t-on ne pas être cruel ?

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