Ces grosses outres et ces décervelés ont poussé leur cri de pachyderme face à la beauté, et se sont réfugiés dans les combles parmi les rats. Leurs vices de chacals leur ont servi de structure, leurs actes de charognards fut un exutoire à leur vision d’autruche. Abasourdis comme des hippopotames, ces mastodontes ont ouvert leurs gueules pour se faire récurer les dents. Nus comme des vers face à leur inanité, ces bécasses et ces poules d’eau ont couru les prairies, poussant des cris affolés de lémuriens face à un ennemi hypothétique dont leur cervelle de moineau ne leur permettait d’appréhender le danger. Ces prédateurs nocturnes ont ensuite mijoté leur sale coup de hyène dans la nuit noire des chouettes malsaines. Ivres de leur projet, iels se sont mis à grouiner dans la fange au petit matin.