Rien n’arrête une machine en marche, ni une femme, ni un homme (un peu moins en général), ni un processus. C’est ainsi que les guerres ont monté lentement et insidieusement, par des instincts qui se sont gonflés, ce qu’ont compris les pacifistes dont la plupart étaient tout aussi instinctifs et jouaient sur leurs intérêts également. Rien n’arrête tout cela, la maladie parfois comme l’avait compris Nietzsche. L’altération du vivant, la contemplation comme l’avaient compris certains anciens. Mais une machine se débarrasse des éléments nuisibles, et chaque rouage, même efféminé, a son rôle à jouer. Chacun joue son rôle d’épurateur et de moraliste. Des femmes d’apparence sauvage et naturelle (Taylor va encore dire que je suis gay mais je m’en fous, disons que trouve certains petits queers.. ) jouent leur rôle d’éboueuse également, elles purifient le terrain pour le désir de l’homme. On les voit le faire dans les défilés de mode typiquement français, c’est même la seule économie qui marche avec le camembert. Des éboueuses astiquant le manche des hommes. Des femmes libres et sensuelles récurant les chiottes des hommes de manière spirituelle. Bon on va encore dire que je fais dans les carnets du sous sol.