Les robots.

Le mensonge absolu les a éconduites. Elles ne valaient donc rien. Rien d’autre que de petits mécanismes qui obéissent à des instincts. Des robots qui ironiquement se sont intéressés à moi avant de me détruire. Des robots lettrés. Quel point commun pourrais je avoir avec de tels monstres ? Car les monstres sont des robots, à n’en pas douter. Les monstres ne sont ni humains ni fantasmagoriques. Ils sont des mécanismes. Ou bien ils sont terriblement humains au point d’en devenir inhumains. Il me semble qu’un animal ne pourrait pas agir ainsi, peut être même un insecte, mais je n’en suis pas sûr : un insecte est un mécanisme aussi. Elles seraient donc ces fourmis dont parlait Lecomte, en tous points pareilles aux travailleurs les plus réactionnaires qui soient. Mais bien sûr, sinon elles en souffriraient. Quel désespoir que tous ces mécanismes, ces machines de guerre, ces fanatiques. Mais j’ai des allié.es.

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