La nature.

La lumière avait béni l’enfant. Il cavalcadait dans une nature proche, et synthétisait des informations. Il était une synthèse, et souvent il se taisait, habité par les synthèses. Il s’égarait, là où le goudron trace la limite urbaine. Il ne pensait plus que dans des instances supérieures, et parfois il ne pensait plus. Il était aux anges, avec quelques ramures disséminées, qu’il voyait sans les voir. Il avait vécu nombre d’expériences qui s’annulaient, dans le cerveau de la nature et dans l’angle des murs. Ils n’étaient rien pourtant, car seule subsistait la matière de son cerveau.

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