L’âne clos a fait croire au monde qu’il avait de l’esprit et du charme. Les vieux pervers de l’ancienne heure ont accourut, les avariés et les ternis ressassant leurs mensonges de lettrés. Tous se sont laissés prendre par le trou noir avide de l’âne clos, pour bénéficier de leur petite part du gâteau. Le pouvoir aux vieux toujours, d’une civilisation de la vieillesse dissimulée derrière la jeunesse. Et chacun y apporte son ânerie, sa hideur et sa bassesse, la civilisation terminale revient au galop, bancale et clocharde, inventeuses d’histoires. Qu’ils aient été des ânes toute leur vie, soit de futurs lettrés, bien que l’âne clos n’ait pas une once de talent littéraire en lui, les clochards du désir reviennent, prendre les jeunes filles avec leurs bouches édentées. Ces clochards saisissent l’opportunité de remettre leur groin dans l’actualité, saisissant le sordide pour parler de figures littéraires et pigeonner les jeunes filles. La civilisation pornocratique de la vieillesse en somme. Et bien que l’âne clos ait été un raté en amour toute sa vie, ce charognard opportuniste a créé l’opportunité aux sans dents de revenir.