Le noyau fondamental du boomer est cette sorte de maxime qu’on pourrait formuler ainsi : tant que tu ne fais pas la guerre, tu es quelqu’un de bien. Mais cela s’arrête vraiment là bien souvent, comme si le reste était superflu. Peut être ont-ils été endoctrinés juste après la seconde guerre mondiale par des méthodes archaïques. En tous cas ce serait une erreur de penser que le reste est superflu. On ne peut pas dire qu’il le soit ni formuler les choses ainsi. Il n’y a pas de véritable questionnement sur ce qu’est la violence. Leurs propos semblent souvent délicats pour expliquer cela qu’il est préférable de ne pas faire la guerre. Dans le fond je les plains un peu car cela semble une préoccupation fortuite. Tout cela génère quantité de bizarreries. Ecoutons les anciens s’il le faut mais ne tentons pas de les sauver de leur pathologie. La vie est dure n’oubliez pas.