Le viol.

Le monde des lettres, auquel j’ai la grandeur de ne pas appartenir, est pétri d abjections de toutes parts. La perversion et la pédérastie y règnent en maître. Ces charognes trouvent souvent l’alibi de la gauche marxiste pour contrebalancer leurs crimes, bien que les marxistes aient fait historiquement pire que les nazis. Mais passons sur ces banalités. Ne pas savoir écrire suppose le viol, et le violeur se mesure à son incapacité à saisir le réel. Les violeurs sont souvent ceux qui écrivent le plus mal. Leur avantage en temps que violeurs, c’est que cela passe le mieux dans les jeunes esprits, encore peu expérimentés. La confusion du violeur passe pour une adéquation avec l’esprit de la novice. On enseigne aussi souvent pour le viol. Le système éducatif a tendance à instruire le viol pour lui-même. Il s’oppose et prévient du viol de droite, afin d’assurer le viol de gauche. Toujours le viol, et les meilleurs, les non-violeurs, Florian, Florian…

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