Les secrets.

Il y a deux sortes de secrets, celui du rayonnement et de la beauté et celui de la bêtise profonde et de la laideur. Le premier peut se voir, se prévoir, son existence est réelle, potentielle et simple. Le second est une aversion de la vie, une execration et une ombre. Il est celui qui estime une récompense. Il estime une récompense car il n’a rien fait, et sa laideur est envoûtante paraît-il. Bien qu’elle pue elle attire comme un vice, comme une maladie organique. Elle est le terreau de la vengeance. Mais elle ne pourrait exister sans la lumière. Il n’y aura jamais d’évolution sociale, car la femme apporte la preuve que le corps est relégué à la puanteur. Il ne pourra y avoir de progrès, puisque la femme réduit le corps au vomissement et à l execration. Mais plus encore que cela, elle refuse d’admettre que la lumière puisse receler du plaisir. C’est une grande faute selon moi.

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