Je ne pense qu’à ma belle Lovetta et la légèreté
Pourtant si profonde en elle et pourtant
Qui me prend avec ses ailes légères
Me sait par le charme de sa voix
La fraicheur de ses organes
Je me languis de ma belle Lovetta et n’éprouve
Qu’un immense désir de te voir, je suis heureux
Nageant au parfum de toi parmi le hasard
Tu couvres mes maux de tes délicates aisselles
Et le corps passager de ton charme
Tu m’encenses par tes narines et ta respiration