Le moi et le soi.

Je prendrai toujours le plaisir de faire du commérage avec vous quand j’en aurais l’occasion, c’est la moindre des choses ! J’aimerais vraiment enquêter sur la vie privée des gens et révéler des petits détails qui les mettraient mal à l’aise, que je rigole bien. Mais à vrai dire il n’y a rien qui me saoule plus que ça.

J’ai fréquenté une personne à Paris qui faisait du commérage, donc forcément pour m’adapter à elle j’ai dû parfois entrer dans son jeu contre mon gré. Mais je demande alors qu’est ce qui vous satisfait dans ma situation parfois, si ce n’est que vous soyez sincèrement amoureuses…

Personnellement j’aime éluder toutes ces questions et idéalement me concentrer sur l’essentiel. Car le soi n’est jamais le moi. Je me demande si le moi n’altère pas le soi dans le mauvais sens du terme. Le soi serait ce qui s’émancipe du moi ? Probablement, et d’ailleurs je préfère le soi au concept d’universalite, qui me semble souvent une projection du moi, voire de certaines intentions cachées. Un monde idéal serait un monde de soi.

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