Sans titre

SANS TITRE


l’emprise touche au crépuscule, à la lumière de midi où nous étions
sa robe, sa variante naturelle toute composée dans le brun sombre de ses cheveux
comme si l’iris pointait du noir qu’elle est
son visage nerveux visage empli du fouet de nerfs son visage s’assoupit
le crépuscule après la force de midi le crépuscule d’avantage encore
une poésie plus grande
le crépuscule nuancé du soleil über alles étend sa nuit faite de l’ombre
son emprise succède à la sueur où nous marchions son emprise colle plus qu’un rayon languissant
colle sa haine au burin du rayon mort colle son trait charmant

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