Loveta vagina.

Ma si belle algale, ma Loveta
Ton vagin est l’odeur qu’ont pris les mers
Quand je me suis acheminé vers toi
Je goûtais tout l’embrun de ton âme
Belle pécheresse, tu étais ce tel trésor
Que je découvrais au fond des alvéoles
De tes mers construites en archipels
Le goût si subtil, du méandre de tes lèvres
J’aimerais maintenant encore y être
À jamais, éternelle loveta
Ta gentilesse extrême

L’éternité de ton moi, à moi s’achemine
Tu es si légère, ma belle Duval
Tu es si divine, en ton âme
Que j’écoutais dans les valves où l’amour s’achemine
Oui j’aimerais y goûter pour l’éternité
À ton goût si subtil et si hygiénique
Ma belle acrobate du désir
Ma belle contorsionniste
Tu es une plaine du gésir

Je t’aime déjà.

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