De la proximité.

On ne construit pas une civilisation avec un régime de terreur envers celui qu’on aime, c’est proprement impossible. Faites cessez mon martyr, et vous serez véritablement gratifiés. Les propos adverses que vous n’aurez jamais dû entendre, sont le mensonge même. Votre civilisation jusqu’ici, je m’en lave les mains. Mon corps m’appartient, tout vient de moi et de moi seul. Religieusement également, vous faites proprement l’inverse de ce que vous auriez dû faire, inversion qui provient du cerveau d’un fou qui aurait voulu être moi, et que vous avez écouté, et avec qui je n’ai aucune semblance qu’un contexte. Sans parler de vos propres élucubrations.

On ne fait jamais de mal à celui qu’on aime. Quand on voit quelqu’un ou quelque chose qu’on aime, on avance vers lui ou vers cela seulement. Le reste est dérisoire, et parfois un abysse se crée de ce qu’on n’a pu avancer vers lui ou vers cela. Vous pourriez vous dire que ce sont des situations que j’ai pu connaitre, mais vous y êtes pleinement également. Vous êtes dans l’abysse plutôt que vers le lieu ou la personne où vous vouliez aller.

Il y a toujours un risque avec ce qui peut émerger des abysses.

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