La jouissance et le plaisir qu’on prend à me persécuter, littéralement à détruire mon système nerveux est le principe même de l’humain. Quand il n’y a plus de loi pour protéger une personne, l’humain se montre et laisse libre cours à ses instincts. La destruction, qui le différencie de l’animal prend son libre essor, s’accentue, n’a plus de limites et l’humain est démasqué. Aucun crime de l’histoire, dont l’humain a tenté de prévenir, n’est inhumain, mais humain. Et on le voit aujourd’hui avec mon cas de figure, dont la volonté de détruire, propre à l’homme, a trouvé une opportunité de s’épanouir pour se venger de moi, pour se venger de l’innocence et de la création, pour se venger de la lumière.