Qu’il soit progressiste ou ressentimiste, l’objectif de l’homme est de détruire la féminité, et la femme s’y conforte, la femme se plaît à cette idée. Elle même veut se détruire en se donnant à l’homme. La femme souffre du complexe d’être une femme. La personne qui abolit ses instincts, au prix d’une diminution d’elle même, cette personne sera le bouc émissaire, car elle n’a plus la force de destruction en elle, mais celle de la création permanente.
Or créer est la chose la plus enviable au monde, c’est la chose qui ne s’apprend pas.